Pointes !
Voilà pourquoi samedi dernier, Melle J. et moi avons bravé le froid et le vent glacial dans les rues désertes de Toulouse. Il lui fallait ses pointes et ce genre de choses ne s'achète ni au marché ni dans ma campagne perdue. Il faut aller en ville. Et forcément quand on y est, on ne peut pas s'empêcher de passer par la Dro*gue*rie, on est intoxiqué ou on l'est pas ! L'avantage des journées frappées par le climat de Sibérie, c'est que dans la boutique, pas un chat ! Ce matin là, il y avait plus de vendeuses que de clientes.
Mais revenons-en à nos pointes cousues en Russie. Il leur fallait un écrin tout doux :
Finalement, j'aurai mis plus de temps à coudre les rubans et les élastiques sur les pointes que le petit pochon car ça c'est comme le vélo, une fois qu'on sait, on n'oublie jamais !
Tissus de ma réserve, dentelle anglaise chinée lors de la saison des vide-greniers, saison que j'attends et attends avec impatience !!!
Et pour les achats compulsifs à la Dro*gue*rie, c'est sur le post précédent !