28 mai 2015
De l'autre côté
Il a suffi de passer la frontière pour se sentir très loin.
Nous n'étions pourtant qu'à 3 heures 30 de chez nous.
Il a suffi de passer la frontière pour que la chaleur réchauffe nos os.
Chez nous, c'était pluie et fraîcheur.
Il a suffi de passer la frontière pour que l'envie d'ailleurs se fasse encore plus forte.
Chez nous, ce soir , je ne passerai pas le balai, je ne ferai pas les poussières.
Je me souviendrai et c'est tout.
Cadaques, Espagne, Week end de Pentecôte 2015
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